Jo continue Ă tendre l’oreille, Ă l’affĂ»t des musiques de rue…
« Dans une rue de Grenoble, j’entends un saxophone, j’essaie d’entamer le dialogue et les musiciens me disent ĂȘtre Espagnols. J’ai quand mĂȘme pu les enregistrer, preuve que la musique est universelle ! »